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Conversion de format graphique


source : https://www.noyf.biz/2007/03/18/traitement-batch-avec-gimp-pour-la/



Pour la conversion des .pat en JPEG, il faut ensuite créer une procédure adaptée qu’on placera dans un fichier dans son ~/.gimp-2.2/scripts :

(define (patconv infile

outfile

)


(let* )

(drawable (car (gimp-image-get-active-layer img)))

)

(gimp-message-set-handler 1)

(gimp-file-save RUN-NONINTERACTIVE img drawable outfile outfile)

(gimp-image-delete img)

))

La procédure accepte en argument un nom de fichier en entrée et un nom de fichier en sortie. Elle ouvre le fichier d’entrée, récupère le drawable nécessaire pour la procédure d’enregistrement puis, enregistre le fichier de sortie et détruit l’image.


Il suffit ensuite d’utiliser la commande :

gimp -i -c -b « (patconv « wax.pat » « wax.jpg ») » « (gimp-quit 0) »

Notez qu’il faut échapper les  » et utiliser la procédure (gimp-quit 0) dans l’argument et non dans la procédure stockée dans le fichier.


Pour boucler sur les fichiers dans un répertoire, le shell est mis à contribution :

mkdir JPG

for i in `/bin/ls *.pat`

do

gimp -i -c -b « (patconv « $i » « JPG/`basename $i .pat`.jpg ») » « (gimp-quit 0) »

done

Et voilà un répertoire JPG plein de JPEG. Pour récupérer le nom des motifs, la commande file est notre amie.